Il est vrai, monsieur Lambert, que les pouvoirs publics réagissent parfois au coup par coup, mais cela me semble globalement symptomatique d'une époque où l'émotion prend le pas sur la raison. Ce n'est pas, en effet – si terrible cela soit-il –, parce que 30 personnes de plus ont perdu la vie, tel ou tel mois, qu'il faut bouleverser l'ensemble des règles en vigueur.