Nous devons avoir une position équilibrée. Les interventions précédentes ne sont pas inexactes mais il ne faut pas donner l'impression que l'on compare un territoire français exemplaire où les problèmes sont maîtrisés et un pays, le Brésil, où les policiers sont corrompus et incapables d'assurer la sécurité. Le Brésil est un grand pays. Sa présidente Dilma Rousseff a fait de la sécurité une de ses priorités. On ne mesure pas assez en France la puissance des BRICS. Il n'est pas souhaitable de donner des leçons à l'occasion du vote d'une disposition utile que je soutiens. Les relations franco-brésiliennes ont déjà été ternies ces derniers mois.