Je termine, monsieur le président.
Monsieur le secrétaire d'État, pouvez-vous m'assurer que ce ne sont pas les régions à ce jour les moins bien désenclavées qui feront les frais des engagements du Grenelle stipulant que « les nouvelles infrastructures routières et autoroutières seront limitées à la résolution des cas de sécurité et de congestion ou d'intérêt local », alors même que leurs besoins en termes d'infrastructures de transports, routiers et ferroviaires, demeurent patents ?
Est-il besoin de convaincre le premier adjoint du maire de Saint-Georges-de-Didonne de la nécessité de mieux relier l'espace central à la façade atlantique ou de mettre la capitale de la porcelaine à moins de deux heures de Paris, pour ne citer que deux exemples de nouvelles infrastructures indispensables pour la sécurité et l'intérêt local ?