Des radars de ce type sont déjà installés, dans des endroits judicieusement choisis comme, à Saint-Cloud, devant une sortie de lycée où plusieurs accidents se sont déjà produits. Ils ont, au début, provoqué quelques émois. Les conducteurs locaux y sont maintenant habitués et veillent à mieux respecter les signaux lumineux.
Les médias en parlent peu et nous sommes rarement sollicités à ce propos, bien que l'infraction correspondante entraîne un retrait de quatre points.
Curieusement, le sujet suscite aujourd'hui moins de réactions que les radars de contrôle de vitesse en 2003. A l'époque, les automobilistes ne comprenaient pas pourquoi un dépassement de la vitesse autorisée en rase campagne coûtait 45 euros, contre 90 euros en ville – sachant que l'on considérait alors que le premier dépassement était moins dangereux que le second.