Je reviens sur les échantillons et l'intérêt de bénéficier d'un nombre suffisant de données. Aujourd'hui, nous n'avons plus 12 000 morts sur nos routes : nous pouvons donc considérer qu'il existe, au niveau de nos infrastructures, non plus des points noirs mais seulement des points gris. Pour autant, il faut que nous ayons suffisamment de points gris pour dégager les éléments qui nous permettront de prendre les bonnes mesures. C'est pourquoi l'IFSTTAR a engagé des recherches sur les « quasi-accidents » afin d'augmenter la base de la pyramide.