La gendarmerie dispose-t-elle de moyens suffisants en effectifs pour mener plus de contrôles, de manière à ce que la « peur du gendarme » puisse véritablement jouer ? Si, à l'heure actuelle, les personnes sortant de boîte de nuit savent qu'elles ont un risque sérieux d'être contrôlées, la plupart de nos concitoyens se disent en revanche qu'après un repas arrosé, ils ont peu de chances d'être contrôlés sur le trajet du retour. Bien entendu, il appartient aux professionnels de décider de la manière d'opérer, mais leurs effectifs leur permettent-ils de faire plus ?