Une association comme 40 millions d'automobilistes, qui a émergé ces dernières années, explique, par exemple, qu'il n'y a pas de lien entre la baisse de la mortalité et celle de la vitesse parce que c'est en 2003 que le nombre de tués a le plus diminué, alors qu'il n'y avait pas encore de radars. Mais, ainsi que je l'ai dit tout à l'heure, les radars avaient été annoncés partout et les gens se méfiaient ! La baisse n'aurait pas duré bien longtemps si l'on avait continué sans vrais radars… Il faut donc prendre un peu de hauteur. Pour le reste, les données que produit l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière sont d'excellente qualité.