J'évoquais à ce sujet des résultats d'analyses accidentologiques approfondies qui s'appuient sur des études que nous réalisons sur les lieux d'accidents, sur le travail d'une équipe technique de deux personnes pendant une semaine sur place et sur des interviews détaillées avec des psychologues auprès des usagers. On ne peut donc guère parler d'arbitraire ! Par ailleurs, nos conclusions portent, non sur les motards en général, mais sur les accidentés.