Tout le monde se souvient dans quelles conditions cette disposition a été votée lors de la discussion du budget de la santé à l'automne dernier. En entendant le rapporteur général, je me rends compte que la droite n'a pas changé d'état d'esprit. On avait agi à, l'époque, vous vous en souvenez, sous couvert d'arguments fondés sur le mensonge et la calomnie puisque le rapport de l'IGAS avait été tout simplement camouflé et qu'un certain nombre de données calomnieuses et fausses avaient été utilisées pour étayer l'argumentaire. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)