Nous discutons avec nos homologues allemands sur l'assiette, le taux, l'opérateur chargé de prélever cette taxe, et son affectation – le budget de la Commission ou les budgets nationaux ? Tout cela est actuellement en discussion. Nous souhaitons, au tout début de l'automne, formuler des propositions complémentaires de celles portées par la Commission.
Cette taxe sur les transactions financières fait aussi partie des points à l'ordre du jour de la présidence française du G 20. Ce serait nier la réalité de ne pas dire que cette question ne fait pas consensus notamment du côté des Anglo-Saxons.