C'est donc la France, un pays européen, qui a tendu la main aux nouvelles générations arabes. C'est la France qui, à l'ONU, a obtenu le feu vert à une action de soutien militaire pour éviter le bain de sang qui devait avoir lieu à Misrata. C'est la France encore qui, avec ses forces armées, a mené les actions aériennes. C'est la France toujours qui a reconnu la première le Conseil national de transition comme autorité légitime.