Le dossier est prêt au plan scientifique. Après avoir examiné ce que font des pays tels que la Suisse, l'Autriche et l'Allemagne, nous connaissons les contenus et les méthodes qu'il conviendrait de développer ; nous savons aussi comment améliorer la formation des formateurs.
Je serais donc tenté de dire que le dossier n'est plus entre nos mains. Lorsque nous l'avons présenté aux services du Premier ministre, ces derniers nous ont répondu qu'il s'agissait d'une très bonne idée, mais que les caisses de l'État étaient vides et que le contexte était plutôt de rendre le permis moins cher. On a nous alors suggéré de nous tourner vers les assurances.