L'expérience n'a pas été très probante en Norvège, où l'accent avait été mis sur le travail sur piste. En faisant des jeunes concernés des experts en situation dangereuse, on a suscité un climat de sur-confiance plutôt négatif en fin de compte. Il conviendrait plutôt d'apprendre à éviter les dangers et à les anticiper. L'enseignement des réflexes nécessaires exigerait, au demeurant, des formations très lourdes.
Un travail est aussi en cours en Autriche, mais je n'ai guère d'informations à ce stade. Jean-Pascal Assailly pourrait sans doute vous répondre plus précisément, car il a beaucoup travaillé sur cette question.