Plutôt que d'instituer un contrôle médical, pourquoi ne pas prévoir, à partir de 65 ou de 70 ans, une évaluation de la conduite en auto-école, effectuée par un professionnel de la route, à partir d'une mise en situation réelle ? La difficulté, toutefois, serait de disposer de connaissances sur la pathologie du patient. Par exemple, faute d'une formation adaptée, un moniteur d'auto-école ne pourrait même pas se rendre compte qu'il manque à certaines personnes la moitié de la vision sur le côté.
En tout état de cause, le plus important est de mettre le patient en situation de conduire – sur un rond-point par exemple.