La vraie question est la suivante : comment accompagner nos concitoyens afin de leur permettre de conduire le plus longtemps possible ? La réponse ne réside donc pas dans une stratégie d'interdiction ou de contre-indication médicale, mais dans une stratégie d'évitement des contre-indications. Si l'on attend trop longtemps, les gens vont devenir inaptes à la conduite, car plus on vieillit, plus on a de risques de développer un certain nombre de pathologies. L'âge étant responsable d'un certain nombre de dégradations, la notion d'espérance de vie sans incapacité ou sans pathologie est un élément à verser au débat.