L'intervention du médecin est nécessaire, mais insuffisante parce qu'il examine son patient dans son cabinet. Or l'examen clinique ne permet pas d'analyser les démarches de compensation du conducteur au volant.
La société actuelle fait jouer au médecin un rôle problématique puisqu'on lui demande d'assumer le fait d'interdire à une personne de continuer à conduire pour une raison médicale alors même que la société récuse cette notion d'interdiction.