Les éléments de comportement sont déjà pris en compte, même si c'est insuffisamment du point de vue de la sécurité routière. Nous sommes capables de créer des bases de données individualisées sur les effets environnementaux des modes de conduite et nous travaillons aujourd'hui sur ces éléments, principalement avec des gestionnaires de flotte afin qu'ils puissent intervenir. Ce sont aussi des éléments qui tendent à prendre un poids accru dans la formation des conducteurs. Nous y oeuvrons d'ailleurs avec les auto-écoles : une fédération du secteur développe un produit d'éducation à la formation en sécurité routière qui repose sur ce type de données. Il pourra ultérieurement être proposé aux particuliers.