J'aimerais poser une question aux assureurs et au représentant du FGAO. Nous partageons évidemment le point de vue que vient d'exprimer M. Vilbois : on ne peut parler d'un droit à 4 000 tués et à plusieurs dizaines de milliers de blessés. Cela étant, quel est votre avis sur le propos qu'on nous a tenu hier, à savoir qu'il n'y a plus de marge de progrès du côté des conducteurs raisonnables et qu'il faudrait donc s'attaquer au « noyau dur », c'est-à-dire aux chauffards – ce qui est bien sûr plus compliqué ?