Ce serait une fausse bonne idée. Selon une étude de l'Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité (INRETS), il n'est protecteur que dans 2% des accidents. En outre, le pourcentage de lésions à la tête étant le même pour les cyclistes et les piétons, il faudrait alors, en bonne logique, l'imposer aussi à ces derniers.