Je ne parle pas d'éternité.
Le débat a été paisible, c'est vrai. Les confrontations sur le fond n'ont pas suscité les tensions que l'on a connues dans certains débats. Il y a plusieurs explications à cela. D'abord, le Président de la République ne s'en est pas mêlé. Dès lors qu'il reste dans ses fonctions, on reste dans un cadre républicain, où chacun intervient à sa convenance, sans pression extérieure inutile et anticonstitutionnelle.
Le sarkozysme triomphant dont parlait notre collègue Daniel Goldberg, n'est plus si triomphant.