MM. Brard et Martin-Lalande ont raison, mais il ne dépend que de nous d'améliorer la situation sur certains points. Ainsi, ne conviendrait-il pas de procéder à des auditions plus incisives, et de retourner vraiment sur le gril les personnalités que nous entendons ? Les deux auditions récentes du directeur général des Finances publiques m'ont mis mal à l'aise. Les prolégomènes ont été trop longs. Le président et le rapporteur général ont certes un rôle éminent mais il faudrait moins d'exposés généraux et plus d'études de cas pour pousser ceux que nous recevons dans leurs retranchements.