Que pouvez-vous dire aujourd'hui au sujet des otages d'Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) ?
À l'Assemblée générale de l'ONU, en septembre, va se poser la question de la reconnaissance de la Palestine comme État indépendant. Vous avez dit voici quelques semaines que la position française dépendrait du point de savoir si l'on relançait le processus de paix – lequel paraît aujourd'hui condamné malgré vos efforts. Cette position a-t-elle évolué depuis lors ou la France réserve-t-elle encore son point de vue ?