À propos de l'accord franco-britannique, je tiens à saluer Mme Michèle Alliot-Marie qui a beaucoup fait en matière de coopération internationale. À part les questions qui nous sont spécifiques de dissuasion nucléaire et notamment de simulation des essais nucléaires, il faut reconnaître que la mise en oeuvre des autres volets de cette coopération demande beaucoup de tact vis-à-vis de nos partenaires européens. La volonté de construction européenne existe bel et bien, même si c'est difficile, et il ne faut pas donner le sentiment d'un couple qui avancerait en excluant les autres. La dissuasion est le seul sujet que nous ne cherchons pas à partager.