C'est en effet dans seulement 27 ans que l'on pourra avoir une vision consolidée des résultats du partenariat public-privé (PPP) de Balard. D'ici là, le Parlement dispose de ses moyens habituels : missions d'information de la commission de la Défense – j'assure à ce titre avec François Cornut-Gentille un suivi permanent des missions du ministère de la Défense – et de la commission des Finances, travaux du Comité d'évaluation et de contrôle, qui pourrait s'intéresser à des sujets dépassant l'horizon d'une seule législature. En la matière, nous ne manquons pas d'outils ; c'est donc la volonté politique qui présidera à leur bon usage.