L'Institute of International Finance, dirigée par un Américain, participe aux discussions. S'il est difficile aux Européens d'exiger, voire de demander à des banques non européennes de souscrire ce genre d'engagement, on peut, avec beaucoup d'arguments, les y encourager : tout le monde comprend, tôt ou tard, que l'intérêt de tous les investisseurs à long terme est de ramener la sérénité sur les marchés. Il n'y a pas que la Grèce… La dette de la principale économie mondiale aussi est observée de près par les agences de notation. La problématique de la dette souveraine intéresse tous les États, même si l'Europe est sous les projecteurs aujourd'hui.