Certains établissements – banques ou assurances – ont-ils spéculé en procédant à des rachats de dette grecque ? Si oui, il serait particulièrement condamnable que la substitution de financements publics à des financements privés les exonère de leur responsabilité.
Les cessions envisagées par le gouvernement grec peuvent-elles contribuer au remboursement du stock de dette ?