C'est aussi pourquoi je demande, de façon réitérée, les raisons pour lesquelles le Conseil national de la sécurité routière ne s'est pas réuni depuis 2008, alors que tous nos interlocuteurs ont attesté de son utilité et de la qualité des experts qu'il réunissait. Aujourd'hui, les décisions sont prises directement par le CISR sans consultation de ce qui tenait lieu de « parlement » de la sécurité routière.
Je renouvelle aussi ma demande de disposer d'éléments d'analyse plus fine pour compléter les informations que vous nous avez fournies.