Dire que tel type d'accident est lié à la prise de cannabis plutôt qu'à la vitesse est très difficile. Actuellement, nous n'avons pas ces informations. Néanmoins, nous savons, essentiellement sur la base des études neurophysiologiques, que tout ce qui perturbe la concentration du conducteur – la conduite étant un geste compliqué, qui implique de faire plusieurs choses en même temps – est potentiellement accidentogène.