Cette suggestion est intéressante mais force est de constater que les autres membres de l'Union européenne sont majoritairement absents de la reconstruction de l'Aquila. Sur les quarante-quatre chantiers listés par le gouvernement italiens, seuls cinq font l'objet de financements conjoints. La France fait donc déjà plus que d'autres. La participation à un chantier complexe comme celui de l'Aquila pose des problèmes financiers mais aussi de savoir-faire, s'agissant de joyaux artistiques universels. Rien ne serait pire qu'un excès de précipitation.