Ira-t-on à Versailles, monsieur le ministre ? C'est la première question que j'ai envie de vous poser.
La réponse dépend du Président de la République, pas de nous. Pourtant, nous avons passé de nombreuses heures dans cet hémicycle – et ce n'est pas fini – à débattre d'un sujet dont nous ne sommes pas sûrs de l'aboutissement, de sa mise aux voix au Congrès à Versailles. Cela me paraît relever d'une politique de gribouille.