Au centre, nous sommes ouverts, nous ne pensons pas que ce sont toujours les mêmes qui ont raison contre les autres, qu'il y a d'un côté les gentils et de l'autre, les méchants !
Vous savez, monsieur de Rugy, nos collègues allemands ne sont pas plus bêtes que nous, et quand les démocrates chrétiens, les sociaux-démocrates et les libéraux se mettent d'accord sur une réforme constitutionnelle bien plus dure que le texte que je vous invite à voter, prévoyant notamment de plafonner le déficit à 0,35 % du produit intérieur brut à partir de 2016…