…entre 1997 et 2002. À cette époque, le gouvernement de Lionel Jospin n'avait certes pas respecté l'ONDAM mais il avait ramené les comptes du régime général à l'équilibre tout en accroissant considérablement la qualité des services rendus, notamment grâce à la couverture médicale universelle, qui a permis à plus de deux millions de nos concitoyens de bénéficier du droit commun.
Aujourd'hui, le respect de l'ONDAM se fait au prix d'un délabrement considérable de l'accès aux soins, symbolisé notamment par les forfaits, franchises et dépassements d'honoraires.