Madame Filippetti, je suis heureux d'intervenir après vous pour pouvoir dire que, heureusement, le pire n'est jamais sûr. Quand on entend le projet fiscal dont vous venez de développer les grandes lignes, on se dit que si, par malheur, les Français vous faisaient confiance l'an prochain, ce serait impôts supplémentaires, impôts supplémentaires, impôts supplémentaires pour des catégories que vous avez additionnées les unes aux autres en fixant des définitions dont je crains qu'elles ne soient extrêmement larges.