Voilà les quelques éléments que je souhaitais, monsieur le ministre, mes chers collègues, livrer à votre réflexion. J'espère que la commission mixte paritaire relative à la dernière réforme fiscale de la législature tranchera avec ce qui est devenu une tradition, à savoir la règle selon laquelle toutes les réformes fiscales examinées auront été financées par l'endettement, du premier au dernier euro. J'ignore si les uns et les autres obtiendront le gain politique espéré, je suis en revanche certain que l'état de nos finances publiques l'exige. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)