Dans le même esprit que la première question de M. Yanick Paternotte, pouvez-vous indiquer, au sein des investissements – qui passeraient en cinq ans de 500 millions à 1,5 milliard d'euros –, la part qui revient aux collectivités locales, à savoir le STIF ?
Quant à l'étanchéité des comptes de l'entreprise dont vous nous avez fait part entre la « maison mère » – c'est-à-dire l'activité francilienne – et les filiales qui s'implantent tant en France qu'à l'étranger, des indicateurs permettent-ils de savoir si, au bout du compte, c'est bien de l'investissement en Île-de-France que financent les collectivités locales par l'intermédiaire du STIF ?
À propos d'indicateurs, comment faire en sorte, lors de la renégociation des contrats de plan qui doit s'achever d'ici la fin de l'année ou le début de l'année prochaine – qu'ils soient à la fois plus précis et plus clairs, bref plus compréhensibles pour les élus qui siègent au STIF, dans cette situation curieuse qui veut que la Société du Grand Paris doive pour partie travailler avec eux ?
Concernant la ligne 14, les débats publics n'ont jamais fait apparaître la nécessité, avec le passage du matériel roulant de six à huit voitures, d'implanter de nouveaux accès. Il s'agit pourtant là d'un élément déterminant d'aide à la décision.