Nos investissements dans les missions d'intérêt général, notamment les 30 millions correspondant à l'ingénierie, sont des investissements à fonds perdus, mais la Caisse escompte des retombées indirectes de l'effort qu'elle consent pour bien maîtriser le modèle universitaire. D'abord, dès lors qu'elle attend des retours de ses investissements patrimoniaux dans les SCI, il est logique qu'elle étudie les projets, comme le ferait n'importe laquelle de ses filiales. Ensuite, l'investissement intellectuel que réclame le travail avec les universités lui sera utile, s'agissant de France-brevets ou des SATT, pour mettre au point les bonnes pratiques et pour sélectionner les techniques de valorisation des brevets, afin de vendre des licences et de percevoir un retour financier. En somme, par cet investissement intellectuel, elle s'approprie de la connaissance universitaire.