Certes, mais elles sont dans l'actif patrimonial de l'État. Il nous faudrait deux lectures : l'une, budgétaire, en crédits, recettes et dépenses, avec la ventilation entre investissement et fonctionnement ; l'autre en termes d'actifs durables de l'État et de rentabilité de ces actifs, rapportée à celle d'une dépense budgétaire ordinaire. On saurait alors si l'opération aura le même coût qu'un emprunt ou s'il y aura eu valeur ajoutée, c'est-à-dire accroissement de l'actif patrimonial de l'État. Je n'ai pas de réponse à cette question que ne manquera pas de nous poser la commission des Finances.