Je ne sais pas ce qui vous permet de dire cela, je ne suis pas aux responsabilités depuis neuf ans, mon cher collègue. Je ne siège d'ailleurs pas sur les bancs de cette assemblée depuis neuf ans, je n'y siège que depuis quatre ans, et je me soumettrai – comme vous, je l'espère – au verdict des urnes, et nous verrons bien. Je suis très prudent et très respectueux du verdict populaire qui s'exprime au moment des élections. Chacun s'y soumettra, donnons-nous rendez-vous dans un an pour en reparler.