À l'heure actuelle, nous ne sommes pas en mesure d'évaluer la fraude.
Si notre pays n'arrive pas à signer des accords bilatéraux, il faudra bien trouver une solution pour sécuriser les dispositifs : la biométrie peut en être une.
Ce système pourrait être appliqué dans un premier temps à ceux qui partent à la retraite, puis aux personnes de soixante-cinq à soixante-quinze ans.
Je vous remercie d'avoir participé à cette audition fort intéressante.