Les données biométriques recueillies localement devront être transmises aux organismes idoines, par exemple la Caisse nationale d'assurance vieillesse, pour vérification. Or leur caractère très sensible suppose des canaux de transmission suffisamment sécurisés.
En outre, compte tenu de leur nature, ces données ne seront pas transmises en clair, mais de façon chiffrée. Or certains États n'acceptent pas la transmission de données chiffrées.