étienne Léandre, sous-directeur de l'expatriation, de la scolarisation et de l'aide sociale au ministère des affaires étrangères et européennes :
Ce serait un certificat de vie informatique. La personne passerait devant une borne, et l'information serait renvoyée à la Caisse nationale d'assurance vieillesse. Sur le plan technique, cela n'est pas irréaliste.