Lors d'un déplacement que nous avons effectué à Bruxelles, M. Emmanuelli et moi-même n'avons pas vraiment ressenti l'optimisme dont vous avez fait preuve quant à la présence de fonctionnaires français au sein des instances européennes. Nous avons plutôt eu le sentiment que la tactique adoptée n'était pas la bonne et que nos agents demandaient surtout des postes importants, voire flamboyants mais ne savaient pas s'installer là où, peut-être dans l'ombre, les décisions sont en fait prises… Les choses se sont-elles améliorées depuis ?
Pourriez-vous par ailleurs, comme vous l'avez annoncé, nous donner plus de précisions sur la couverture des risques de change ?