Avec l'accord du 26 janvier dernier, l'évolution par rapport au projet inscrit dans la loi a été très importante. Quel est l'impact pour la Société du Grand Paris d'un tel changement de philosophie – 72 gares au lieu de 40 et un tracé largement modifié ? S'agissant plus particulièrement de la transformation du métro aérien en métro souterrain, la Société du Grand Paris a-t-elle d'ores et déjà envisagé les évolutions induites en termes de paysage ?
Votre idée est-elle toujours de commencer les travaux à plusieurs endroits en même temps ? Le calendrier et le phasage, tant des travaux que du financement, semblent en effet des sujets tabous.
L'installation de la Société du Grand Paris ayant été, semble-t-il, difficile, pouvez-vous préciser à présent qu'elle a atteint son régime de croisière, son fonctionnement, ses effectifs, son budget, ainsi que les relations entre le Conseil de surveillance et le Directoire ?
Enfin, qu'en est-il des conventions de financement inscrites dans l'accord du 26 janvier qui doivent être passées entre la Société du Grand Paris et le STIF ?