Aujourd'hui, tout le monde sait que celui qui s'engage dans l'apprentissage a peu de chances d'accéder à l'université. Tant qu'il en sera ainsi l'alternance apparaîtra comme une voie secondaire pour ne pas dire d'exclusion.
De la même manière, il faut – je crois que nous serons tous d'accord – développer la mobilité européenne, il est indéniable qu'effectuer un fragment de son parcours d'apprentissage dans un autre pays de l'Union européenne est un atout supplémentaire.
II existe donc toute une série de pistes pour une politique de qualité, déjà expérimentées dans les régions, qui concourent à l'amélioration et à la revalorisation de l'apprentissage et qui mériteraient d'être reprises, soutenues et amplifiées, puisque l'État veut amplifier ces efforts.