Cavalier pour cavalier, je ne vois pas pourquoi le Gouvernement aurait davantage le droit d'en introduire. Inévitablement, les parlementaires qui veulent discuter de ce texte sont aussi obligés d'introduire des cavaliers.
Sur le fond, dans cette affaire de partage de la valeur ajoutée, plus que tout autre dispositif, l'élément qui permettra vraiment de moraliser, de trouver un minimum de consensus, c'est le dialogue social. Or celui-ci passe d'abord par l'information et par le comité d'entreprise au sein de la société. Si vous refusez cette disposition, vous faites une grave erreur, excusez-moi de le dire, car c'est précisément la mesure qui permettrait d'avancer sur ce terrain.
(L'amendement n° 47 n'est pas adopté.)