Il eût sans doute également été préférable de rentrer au capital avec droit de vote : cela aurait peut-être permis d'éviter un certain nombre de dérives, comme celles que vient de dénoncer le président de la commission des finances.
Voilà la vérité. Il n'y a pas plus de menteurs d'un côté de cet hémicycle que de l'autre. Comme je l'ai dit hier, les chiffres sont têtus.
C'est simplement ce qu'ont voulu dire mes collègues, notamment Sandrine Mazetier et Aurélie Filippetti.