Merci pour votre mansuétude, monsieur le président.
Au moins, M. Carré reconnaît que nos questions sont légitimes. Cela étant, je me mets à la place des personnes qui sont dans les tribunes et qui doivent se demander dans quelle langue nous parlons alors que nous évoquons le dispositif qui doit s'éteindre, le règlement de l'AMF, les OPCI, etc.
Heureusement, notre collègue Olivier Carré explique que toutes ces choses très techniques ne représentent qu'une poignée de cacahuètes, peut-être quelques millions d'euros. Et d'ajouter : je pense aux porteurs. Vous faites bien d'y penser ! Vous, vous me faites penser au porteur d'eau, à ceci près que ce sont les intérêts des privilégiés que vous portez.
Voyez que disant cela, nous rendons tout de suite votre propos plus clair. Je suis sûr que les personnes qui suivent les débats sur internet ou depuis les tribunes comprennent alors que vous beurrez la tartine des privilégiés.