Non, mon cher collègue, rassurez-vous, je ne suis pas enragé, sauf vis-à-vis des privilèges que vous défendez, alors que nous, nous défendons les petites gens, que vous oubliez complètement pour beurrer la tartine des privilégiés.
La question que pose Christian Eckert est tout à fait légitime. Nous devons savoir combien coûte la mesure proposée par M. Carré et par la commission, et que le Gouvernement, sans aucun critique, accepte alors que, visiblement, c'est un nouveau cadeau.
Vous n'avez pas non plus répondu depuis lundi, monsieur le ministre, à la critique de la Commission européenne, qui vous a tiré les oreilles parce que vous n'avez pas pris, selon ses critères – qui n'ont certes pas valeur de parole d'évangile –, les mesures qui conviennent pour réduire les déficits que vous laissez filer.