Comme il y a dix ans, monsieur Cahuzac, entre 1997 et 2002 aussi.
Tout à l'heure, je parlais de 1 300 ou 1 400 milliards. Il est tout de même utile d'avoir une assurance-vie pour répondre au besoin de financement de l'État. Il ne faut jamais oublier que, dans l'assurance-vie, il y a des obligations d'État. Cela concerne aussi le financement des entreprises. Grâce à un excellent amendement présenté il y a quelques années par M. Fourgous, nous avons facilité le basculement sur l'investissement des entreprises.
Notre position est donc parfaitement équilibrée, comme souvent d'ailleurs à la commission des finances. Nous ne souhaitons pas pénaliser l'assurance-vie, mais nous ne voulons pas ajouter d'incitation fiscale pour un produit qui en cumule déjà, et c'est une bonne chose, tout un ensemble.