En dehors du parti pris qui consiste à ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, on a l'impression d'une absence de gestion prévisionnelle des emplois : dans l'Éducation nationale il n'existe pas de programmation pluriannuelle des recrutements, fondée sur une analyse des besoins, ce qui explique pour partie qu'il existe un hiatus entre les recrutements et les besoins réels.